Qui sommes-nous ?

Volutes est une revue dédiée aux formats courts.

C'est la revue au long cours. Car on peut faire court mais emmener loin.

Volutes est aussi une revue littéraire qui mélange les créations.

En effet, on y croisera plusieurs disciplines artistiques : peinture, illustration, gravure, BD, écriture. L’ambition est d’aller, le plus souvent possible, au-delà de l’illustration ou de la juxtaposition. Nous cherchons à croiser, à mélanger pour faire naître des objets hybrides.

Nous publions des nouvelles, des fragments, des poèmes, des trucs et des machins, mais de moins de 20 000  signes.

Volutes veut donner à voir et à lire ce qu’on ne voit pas et ce qu’on ne peut pas toujours lire.

Nous publions essentiellement des artistes émergents, non (encore) reconnus, hors-circuit. Cela n’empêche en aucun cas l’exigence ou la qualité. Si nous sommes amateurs c’est avec professionnalisme. Comme le chantait Charlélie Couture, il n’y a guère qu’un seul conteur pour cent mille baratineurs”, ce sont ceux-là que nous cherchons.

Nous voulons que Volutes soit la revue de “l’artisanat joyeux”.

Artisanat car nous voyons l’art, non pas comme une grande chose sérieuse et inaccessible ou un entre-soi, mais comme un travail patient et humble d’amoureux de la vie.

Joyeux car nous pensons que la littérature ne se limite pas à la souffrance ou à l’intime. Elle est en communion avec la vie. Ecrire c’est vivre. Par conséquent c’est triste, parfois, gai, à d’autres moments, délirant et sérieux, profond et léger.

Comme il n’y a pas de fumée sans feu, dans chaque numéro de Volutes nous inviterons des invités, pour les questionner ou pour qu’ils contribuent, ou les deux.

Nous imaginons Volutes comme un bel objet que l’on a plaisir à feuilleter, à regarder, à partager. Mais nous l’imaginons aussi comme un objet pratique que l’on manipule, que l’on triture, car il n’est pas intimidant ni ennuyeux, mais qu’on y trouve un énorme plaisir de découverte.

“Vos luttes partent en fumée

Vers des flûtes enchantées

Et de cruelles espérances

Me lancent

Des dagues et des lances

En toute innocence

J’cloue des clous sur des nuages

Un marteau au fond du garage

J’cloue des clous sur des nuages

Sans échafaudage”

JP Fouque/Alain Bashung. Volutes